Béthune 2011. Capitale Culturelle

A quelques jours du clap final, flashback sur la capitale régionale de la Culture…

Trois événements marquants me viennent d’emblée à l’idée : 

– La présence du Louvre

– La Comédie Française se déplace

– On attend toujours Jerry Lee Lewis

Le Louvre propose une exposition en deux volets :


De l’Antiquité au vingtième siècle, de Pompéi à Picasso en passant par la Renaissance et le Printemps de Botticelli et Lucas Cranach, Trois Grâces pour apporter la joie… Par Jupiter !

Nan Goldin donne un éclairage actuel aux visages et aux corps avec Scopophilia, son nouveau diaporama. Le mythe de Pygmalion se réactualise dans sa volonté de donner la vie en photographiant des êtres humains et des personnages peints de façon incessante…

A new Walk on the Wild Side !  

La Comédie Française n’est pas en reste avec un programme éclectique : Bérénice de Racine, un one man show basé sur des textes de Pierre Desproges et des lectures sur le peintre Cranach.

Des amours avortées, un humour grinçant pour rire de tout mais pas avec tout le monde, des illusions comiques pour une seule certitude, être dans le doute et un spécialiste de l’érotisme, voire du libertinage en pleine guerre de religion pour une pure volonté de démocratie culturelle…

Côté concert, le Killer est resté dans l’oeuf ! Un comble !

Et un coup dur pour la partie musicale de l’opération et surtout les organisateurs qui pouvaient s’y attendre, Jerry éant coutumier du fait. Soit, le pionnier du rock a mis le feu à la planète mais il s’est arrêté à Béthune… Tant mieux !

Une capitale culturelle rime aussi avec l’occasion de découvertes musicales. Et pourquoi pas peindre la musique avec le Jam’s Band ?

Don’t Be Cruel !

Finalement, Linda Gail Lewis, la soeur de Jerry, décide de jouer dans les pas de son frère…